LES CHEMTRAILS : INTERDIT DE PENSER

Libérer sa pensée, c’est sortir d’une prison imaginaire, au risque d’être jugé conspirationniste. Or, cette liberté de penser n’a pas de prix.

Dans mon temps, le ciel bleu était bleu, avec de vrais nuages. Mais, aujourd’hui, il y a des… vous savez quoi. Penser c-h-e-m-t-r-a-i-l, c’est interdit. On ne peut en parler. Partager votre point de vue sur le sujet provoque des réactions autour de vous ; certains ne veulent tout simplement pas en entendre parler. Le surmoi, ce juge intérieur, nous rend également mal à l’aise d’y penser. On peut chercher à nier cette réalité en évitant de regarder au ciel, et voir cette longue trainée blanche qui s’étend et persiste dans le ciel.

Edward Bernays disait qu’il suffit de propager une idée insensée dans l’environnement médiatique, scientifique et culturel, et les gens y croiront ! Par exemple, vous faites dire à Greenpeace que ces trainées blanches, c’est de la condensation : https://www.greenpeace.fr/quelle-est-la-position-de-greenpeace-sur-les-chemtrails/

On peut cependant observer le ciel et utiliser son propre raisonnement. Ce raisonnement me paraît parfois comme une espèce en voie d’extinction !

Je ne me demande pas si les chemtrails existent. Je les vois au-dessus de ma tête ; de larges sillons provenant des traces laissées par certains avions qui s’étendent et finissent par remplir le ciel. Je me demande plutôt à quoi ça sert. Pour contrôler le changement climatique, nous protéger du CO2. Vraiment ? Ceux qui font de la géo-ingénierie ont les moyens de connaître les cycles terrestres de glaciation et de réchauffement. Est-ce pour polluer les ressources terrestres de substances nocives ? Est-ce pour la connectivité des réseaux ou des humains, le 5G ou 6G ? Ici, il y a de l’électricité dans l’air ; lors des orages, les éclairs n’en finissent plus. Je me demande même si, à la fin du grand spectacle, cela pourra servir à créer un écran géant afin de simuler la menace d’une attaque extraterrestre.

Certains autres enjeux, par exemple les élections américaines ou la crise économique, nous inquiètent. Ils nous maintiennent dans le spectacle. Ils nous font croire que nous perdrons notre (fausse) sécurité et notre (faux) confort. Mais, peut-être nous feront-ils nous rendre compte aussi de notre conditionnement. Car, on nous a fait croire des choses insensées et accepter des choses inacceptables. La prise de conscience de notre conditionnement est, à mon avis, à la base d’un changement réel, personnel et social.

La conférence des mois d’octobre et décembre répondra à la question : Maintenant qu’on sait tout ça, comment faire autrement ? Dans une prochaine vidéo, j’annoncerai les villes de la virée de décembre : Gatineau, Abitibi, Montréal, Ste-Adèle, Ste-Thérèse, Danville, Ste-Madeleine, Trois-Rivières, etc.